Publié le 18/05/2006 à 12:00 par malikant
Une personne prénommée Aurélie m'a demandée de promouvoir son combat contre les souffrances infligées aux animaux à travers le monde. C'est un sujet difficile, car chaque culture à des excés à se reprocher, et peu d'envie pour changer ce qui sont parfois des traditions millénaires. Mais Aurélie à raison, il faut s'affranchir de toute cette violence envers les animaux, pour moi la première étape vers moins de violence entre les hommes.
Voici l'adresse d'un site plaidant pour cette juste mais si complexe cause, je vous enjoins à aller voter pour la pétition contre l'esclavage animal: http://www.code-animal.com
Publié le 17/05/2006 à 12:00 par malikant
L'amour coule dans mes veines
Doux poison, il envahit mon corps tout entier
Mon esprit n'est pas épargné
Je ne peux plus penser à autre chose qu'à toi
Il atteint mon coeur blessé
S'engouffre dans les félures
Et brise mon armure
Je ne peux plus lutter
Me voilà malade, malade d'aimer...
Je suis condamnée, condamnée à t'aimer...
...à perpétuité...
Encore un texte de l'adorable Célia, cette fille qui met tant de bonheur dans l'existence de ceux qui ont la chance de la découvrir un peu. Certainement la plus belle rencontre virtuelle. Célia
Publié le 13/05/2006 à 12:00 par malikant

Cuong est l’un des artistes vietnamiens les plus admirés. Pour lui, la réflexion d’un artiste n’est pas très éloignée de la démarche d’un moine bouddhiste, et son œuvre débouche sur un minimalisme colorée et plein d’espoir qui invite à la méditation.
Le Thiet Cuong est né en 1962 à Hanoi au sein d’une famille d’artistes. Son père, Le Nguyen est un écrivain et poète réputé. Sa mère, Do Phuong Tao une cinéaste reconnue.
Cuong fait partie d’une génération de vietnamiens qui a assisté aux nombreux changements de son pays pendant les quarante dernières années. De 1964 à 1973, Cuong et sa famille ont vécu dans le village de Binh Da dans la campagne vietnamienne.
Cette période de son enfance se retrouve dans ses créations peignant des scènes de la vie quotidienne dans la campagne vietnamienne. Après être retourné à Hanoi, Cuong étudia de 1985 à 1990 la mise en scène et l’art de l’animation au Collège National de la Cinématographie.
Il se passionna ensuite pour les enseignements de la doctrine Tay Tang, version vietnamienne de la philosophie tibétaine Dzogchen. L’enseignement et la philosophie bouddhistes imprègnent ces créations. Cuong souhaite nous inspirer à vivre une vie simple et sans soucis, dans la lignée du I Ching, Le Livre des Changements.
L’œuvre de Cuong révèle l’impermanence de toutes choses. Son message est plein d’espoir et incite à la méditation. Il met en avant les valeurs de simplicité et de compassion, comme protections contre les aléas de la vie, et ses souffrances.
Cuong rencontra un succès retentissant lors de sa première exposition individuelle à l’étranger (1995, le chemin tranquille, Singapour et Hong-Kong). Il a depuis exposé dans de nombreuses villes en Europe et aux Etats-Unis et est considéré comme l’une des forces créatives majeures du Vietnam.
Publié le 13/05/2006 à 12:00 par malikant
La feuille de curry est la feuille d’un petit arbre à feuilles caduques, proche du citronnier (même famille). Elle a l’apparence d’une petite feuille de laurier mais a un goût citronné et qui dégage un arôme semblable à la poudre de curry. Elle est principalement employée dans la cuisinne indienne. Généralement on fait frire les feuilles de curry avec des graines de moutarde et des oignons en tranche puis le tout est versé au-dessus des plats. La feuille de curry entre également dans la préparation de chutneys. Les feuilles séchées sont plus facile à trouver que les feuilles fraîches mais elles ne sont pas très bonnes. Les feuilles fraîches se conservent trois semaines au réfrigérateur ou un an au congélateur.
Publié le 13/05/2006 à 12:00 par malikant
Laisse moi encore dormir
Retrouver la chaleur de tes bras
Retrouver ton sourire
Et le souffle de ta voix
Ne me réveille pas
J'ai encore besoin d'y croire
Ramène moi près de toi
J'ai tant besoin de te voir
Certes notre avenir est incertain
On ne sait pas de quoi sera fait demain
Mais sans toi je ne suis plus rien
Je t'aime d'un amour certain
Un poème de ma belle Célia, cette si jolie jeune femme pleine d'amour et de tendresse, emplie d'une si grande joie de vivre. Une femme amoureuse. Quelle joie immense que de savoir qu'il existe des Célia de par le monde! Quelle chance ses proches, ceux qu'elle aime, ont de pouvoir goûter à ses rires, ses sourires, sa tendresse!
http://lonelygirl.blogourt.fr
Publié le 13/05/2006 à 12:00 par malikant
Voici une découverte marquante, une jeune fille prénommée Marine, qui possède le don de voir les choses et de les faire devenir belles. Une adolescente photographe à la sensibilité passant dans la moindre de ses images.
http://ph0t0s-et0ilees.skyblog.com
Publié le 12/05/2006 à 12:00 par malikant
Ingrédients:
Pour 4 personnes
50grs de vermicelles par personne
60 grs de crevettes séchées
4 navets salès
60 grs de porc maigre haché par personne
Bouillon de volaille
oignons vert frais coupés en fines rondelles
Hè (ciboulette chinoise)
quelques lamelles de champignons parfumès.
Tremper les vermicelles dans l'eau tiède 1/2 heure,champignons idem.
Le bouillon de volaille, avec les crevettes sêchées, les navets salé,quelques pousse d'oignons, bouillir environ 15 mn, ajouter la viande porc crue, hachée, porter à ébullition, écumer cuire environ 15 mn.
Ajouter les vermicelles coupés au ciseaux grossièrement,la ciboulette hachée, couvrir feu éteint 5/6 mn.
Servir avec de la coriandre hachée.Assaisonnement Nuoc-Mam, Sauce soja.
Publié le 12/05/2006 à 12:00 par malikant
La Menthe Pourpre,herbe aromatique originale.
Utilisée en salade , et également dans les plats cuisinés, Peut accompagner les Nêms.
Elle sert également de conservateur, et colorant alimentaire,comme dans le gingembre mariné nommé :Gari
Publié le 12/05/2006 à 12:00 par malikant
Cette herbe est très utilisée en cuisine asiatique.Obligatoire pour accompagner les Nems, et autres plats style, BO BOUN, facilite la digestion, apporte un goût inimitable qui étonnera vos amis.
Appelée aussi Menthe Vietnamienne.
Publié le 12/05/2006 à 12:00 par malikant

un blog trés intéressant, focalisé sur la France, mais dont les conseils peuvent malheureusement s'appliquer dans une grande partie du monde. http://consommacteurs.blogs.com
L'Agence française de sécurité des aliments a publié, il y a quelques jours, un avertissement destiné aux consommateurs de jus de boni. L'agence y souligne le fait que deux études scientifiques récentes rapportent des troubles hépatiques sévères observés "chez trois personnes ayant notamment consommé du jus de noni ». Moins sévère qu'à son habitude, l'agence n'interdit pas pour autant la vente de jus de noni, mais elle rappelle aux consommateurs qu'il est absolument nécessaire de respecter les conditions d'emploi de cette boisson : soit une consommation de 30 millilitres par jour.
Sage recommandation, il faut le reconnaître, car elle rejoint celle des praticiens des médecines naturelles qui savent que le jus de noni est un produit puissant et qu'il contient une forte concentration d'alcaloïdes pouvant avoir un impact sur le foie. Les plus sérieux conseillent ainsi de ne jamais consommer au même moment du jus de noni et de l'alcool, des cigarettes ou même du café. Ils recommandent aussi de faire un test de 5 jours à dose réduite ou bien le déconseillent aux personnes sujettes à l'hypertension.
Victime de son succès - mérité -, le jus de noni n'a jamais été reconnu officiellement comme un produit de santé par les autorités (malgré les témoignages d'efficacité dans le domaine du diabète ou de l'insomnie). Elles le considèrent comme un banal jus de fruit.
Il n'est donc pas étonnant que le consommateur en fasse autant, et que ce jus soit vendu sans aucune notice explicative – ce qui ouvre la porte à toutes sortes de préparations, baptisées " jus de noni " plus ou moins authentiques. Les importateurs sérieux de jus pur de la plante polynésienne (qu'elle provienne d'Hawaï ou de Tahiti) font certifier leurs produits par les labels AB ou Ecocert (et parfois même leur font passer des contrôles en bioélectronique). Fiez- vous donc à eux en priorité. Que les inconditionnels du jus de noni se rassurent, on n'en est pas encore à l'interdiction de ce produit merveilleux : en particulier parce qu'il faudrait oser se mettre à dos les Mormons américains (un lobby très puissant) qui contrôlent la totalité du marché du noni tahitien (via la société Morinda).
Rédigé par Pierre Guillery le 25 novembre 2005 à 01:58 PM dans